Selon Samuel Johnson: "Quand un homme est fatigué de Londres, il est fatigué de la vie". Mais peut-être qu'il a juste besoin d'une visite au Zetter Townhouse, où sa joie de vivre seront ébranlées, agité et merveilleusement renouvellé. Du moment où vous passez à travers les rideaux lourds qui masquent la porte bleue de cette double maison de ville, on rentre comme si vous étiez entré dans un sublime club privé de caractère. Des huiles dorées et encadrés ornent les murs, il y a un gramophone en laiton, une lampe d'ambiance éclaire de petits amas de fauteuils en velours. Vous observerez la taxidermie excentrique (un kangourou en gants de boxe ! Un chat dans une robe avec un parasol!), Alors vous irez au bar. La table d'un vieil apothicaire bordée de sirops faits maison et une liste de cocktails inspirés de vieilles recettes et des remèdes à base de plantes. Plutôt cool, non? A l'étage, 13 chambres uniques, rivalisant avec le côté excentrique du rez de chaussée. Un lit à baldaquin est vêtu de l'Union Jack, une autre a sa tête de lit récupéré d'un ancien manège. Il font partie des équipements à gogo comme de vieilles radios remanié dans des docks iPod, articles de toilette, bouteilles d'eau chaude et le meilleur de tous, des cocktails prêts à l'emploi attendent dans votre minibar. Appelez le garçon pour la glace et un shaker puis relaxez-vous au lit en buvant un Martini. Qui pourrait être décu de tout cela ?
